jeudi 4 septembre 2014

Sans dents et sans culotte*!


Tous, nous savons que pour mettre une dame dans son lit, encore faut-il l’amuser, la faire rire. Et, tout en lui contant de belles conneries en forme de jeu, il vous faudra bien la caresser d’un regard de velours puis, d’une bouche moqueuse bien pourvues de dents magnifiquement blanches telle celle de notre Président de la République française, vous pourrez tout lui faire avaler, tout ce que vous voudrez. Tout, et le reste. Croyez-le. Et, hop, au dodo :
-Mais, mon petit nabot,* ce n’est pas bien de te moquer de la piétaille française ! 
*oui, pléonasme, je sais.

 -Non, Valérie, sache que j’aime les pauvres. Et qu'ils m'aiment en retour !
-
Peut-être, mais les appeler les sans-dents, je n’y vois aucune gentillesse ! Au début j’avais compris les 100 dents. Comme c’était drôle ! Mais, sans dents, que c'est moche. Mais, non, pas eux.
-Chérie, chérie, ma bien bonne bouchée à la Reine, ce n’est que de l’humour !

Cher, cher François de nos amours, René et moi (un de tes sans dents heureusement appareillé), nous regrettons amèrement d’avoir voté pour toi, croyant que tu ferais quelque chose pour nous. A part trois doigtés pour tâter de l'état de ma prostate, ton quinquennat se pose mal : la France se porte moins bien que moi malgré tous les doigtés que tu lui mets pour y trouver remède à son cancer. 

Parlons pas de ma retraite de pauvre, que tu n’as pas voulu augmenter, pendant que tu comblais les riches. Sans oublier notre mirobolant et si pétaradant Manuel Valls, ton Grand Vizir qui, lui, a ce courage que tu n’as pas, (le contraire nous étonnerait), oui, ton Vallou-vallou peut se vanter de dire qu’il aime les entrepreneurs.

Et même, un de tes ministres ignominieux, en bon socialiste pousse tant la drôlerie qu’il réclame le contrôle des "faux-chômeurs" à qui tu n’octroies que 430 euro par mois. Oh Dieu, les vilains pauvres volent l’argent de la République pour mettre un peu de beurre dans leurs épinards. 

Oui, poursuivons ces manants des foudres de l’Etat, eux qui piquent 500 millions tandis que nos riches aux dents en-pivotées escroquent le fisc de 80 milliards d’euro par an. Très certainement pour se faire placer des pivots en bouche avec ce bel et bon argent détourné. En 10 ans, imagine la cagnotte de dents en céramique que tu leur as donnée, Françou d’amour.
Eh oui, disons avec feu Coluche :
- Salauds de pauvres !

A part toi-même, qui aimes-tu, Président de tous les français ? C’est pourquoi, la prochaine fois que tu viendras dans nos Cévennes chéries, je te proposerai une cueillette de champignons. Tu verras comment on s’éclate quand on n'a que cela pour remplacer la viande, oui, chez nous, les pauvres cons, les sans-dents.

Sans-tu que nos Cévennes, grand pays, s'il en fut, de la moulinette, nos bouches édentées se nomment des becs ? D'où l'expression :
-Laissons les pauvres claquer du bec. Ils n'auront rien à se mettre sous la dent, qu'ils n'ont pas ! 

Et, quand on pense que Valérie ait pu rire durant 9 ans de cette jolie blague :
-Mais, comment font les pauvres pour être souvent obèse.
-Mais, parce que sans dents*, ils avalent tout rond, sans mâcher, la belle affaire.
-Sans dents, peut-être mais heureusement pas sans culotte ! 
-Oui, on a assez vu d'horreurs pendant la guerre. Imagine leur popotin obèse.
*Oui, Américo, ici le pluriel s'impose car il faut au moins deux dents parfaitement opposées en bouche pour pouvoir maquer (croquer, en langage normand).

Pauvre petit Hollande. Sans dents, les pauvres peuvent encore avoir la dent dure et rancunière. Et rappelle-toi à notre bon souvenir électoral ! 
____________ 

Dernière minute : Pierrot me fait remarquer, à juste raison, qu'il ne faut jamais confier quelque secret que ce soit à sa femme, encore moins à sa maîtresse vu que le jeu de la carte du tendre français consiste à prendre femme pour le vie (on est bon catholique, ou on n'est pas) et à changer de maîtresse régulièrement et, les maîtresses n'appréciant pas toujours le changement...
... Mon pauvre Hollande, tu as tout faux ! 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire