mercredi 24 février 2016

L’abattoir du Pays viganais


Lorsque Dieu créa le monde, considérant son Grand Œuvre achevé, il estima juste de le confier à ses créatures, Adam et Eve, leur disant qu’ils devaient en prendre grand soin puis, fatigué de tant de travaux, se reposa le 7ème jour. Depuis le monde tourna cahin-caha, bon an mal an avec son lot de guerre, de beauté, de bonheurs et de malheurs.

Exempte de toutes vilenies était notre petite communauté cévenole, oh, et même que des animaux avaient reçu l’aval des autorités pour se baigner dans notre belle rivière, en amont du Souquet mais avec expresse obligation de porter une salopette de bain pour les cochons, et un bikini à huit bonnets renforcés pour nos cochonnes d’eau douce. Pour nos roses porcelets ? Mais qu'ils sont trognons, aussi dérogeons et acceptons qu'ils se baignent tout nus.
Et tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, sauf que !

Sauf que le Bon Dieu eut tort de ne plus se préoccuper de notre bourgade et de son petit abattoir du pays en croyant l'homme respectueux de ses préceptes divins ... Et, voila qu'un  jour, notre gentil bled fit la une des journaux mondiaux et notre honte à tous. On avait bien besoin de cela, en ces lieux.

L'histoire ? Il s’agissait de sordides tueurs de l’abattoir local, bio, s’il vous plaît qui prenaient plaisir… ou qui assistaient goguenards à des traitements d’une indignité sans nom contre des animaux.
Vous me direz que ces animaux-là passeraient de vie à trépas et qu’il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, surtout que certains arguaient que cette chose immonde du martyr des animaux était de notoriété publique dans l’immense majorité  des abattoirs de doulce France, mais chut, n'ébruitons pas.

Dieu ne l’entendit pas de cette oreille. Aussi, reprenant le globe terrestre en ses immenses mains et scrutant cet endroit béni des dieux, Le Vigan, il se dit que cette souillure, qui n’apparaissait pas à l’origine de sa création devait être nettoyée. Alors, tels les enfants qui veulent réparer ou cacher une faute, il mouilla un gros doigt et tenta de gommer la tache.

Peine perdue. Plus le Bon Dieu frottait et plus l'ignominie grossissait à vue d’œil.

Alors, en soupirant il se dit : « Tant pis! » Depuis ces maudits jours noirs de Février 2016, lorsque, de la navette spatiale vous observerez le petit pays viganais, vous n’aurez aucune difficulté à le repérer.

Brigitte Bardot aura encore eu raison : mettons des caméras de surveillance dans les abattoirs français, Hollande,  
et fait nous quelque chose de bien, s'il te plaît. Au moins pour une fois. Merci pour eux.

lundi 15 février 2016

La St Valentin selon Nanny - 2


J’étais donc toute à la dégustation des mangues confites, ce 13 février midi, quand je fus surprise par un appel de Darwin, Australie. A l’autre bout du fil, Sammantha, de sa petite voix chaleureuse, que je reconnus à l’instant même, s’exerçait à son meilleur français, mais il fallut se résoudre à passer à l’anglais. Aussitôt, Ryan qui était derrière elle se glissa dans la conversation. C’était comme si mes petits étaient dans la même pièce alors que des dizaines de milliers de kilomètres nous séparaient.

Comme à chaque appel de ma famille, je me glissais au salon, confortablement assise dans mon fauteuil pour bien prendre plaisir, avec le bruit de fond de la télé de la salle à manger que je n’arrive pas toujours à éteindre du premier coup.
Et puis, je me surpris à pleurer.

Vous ne le savez peut-être pas, mais Ryan est un de mes petits-fils d’Australie qui m’avait rendu visite avec Samm, cet automne (deux m, s’il vous plaît, à Sammantha, Monsieur Gilles).
Moi, je sentais que cette histoire était du sérieux entre eux, et cette idée de noce en Australie me réjouissait, vous pouvez le comprendre. Mais cet animal de Ryan, plus taquin que superstitieux, ne voulait pas entendre parler de mariage aussi, à chaque fois que quelqu’un prononçait le mot de : « Mariage », il en profitait pour retarder d’un mois la date à laquelle il se déciderait à demander la main de Samm… enfin peut-être qu’il se lancerait, quoique rien n’était encore fait, encore moins décidé, pas même entrevu.
Pauvre Samm qui enrageait et qui nous faisait les gros yeux. On en était déjà à des années de retard par ta faute, mon cher Gilles.

Mon Ryan, en bon Valentin, bien décidé cette fois, promena sa Valentine à Bali profita du voyage, et j’ai cru entendre qu’il lui avait enfin déclaré sa flamme, dit qu’elle était la femme de sa vie et tout et tout … enfin, j’étais trop émue pour tout comprendre. Donc, il voulait l’épouser à tout prix. Sammantha a accepté… mais enfin, elle aurait dû punir son amoureux de son petit jeu sadique sur le « mariage ». Enfin je crois. Enfin, c’est ce que j’aurais fait à sa place, moi.
Mais, non. Elle a accepté tout de suite la demande de Ryan. Normal, mon petit-fils est si beau, et si gentil, et si intelligent, et il lui a offert une si belle bague, et les voila si bien fiancés, et le mariage est pour la fin de l’année.
Il reste maintenant à organiser ma prochaine migration.

Non mais dis donc, Ryan… Tu n’y penses pas, petit, la fin de l’année, c’est l’été en Australie ! Tant pis, on s’y fera, à la chaleur, pour votre mariage.
Mais Nanny, qu’il me disait, mon Ryan, tu n’es pas heureuse ? Pas heureuse ! Comme il y va, cet animal !
Alors, je raccrochai : « Merci les enfants de votre coup de téléphone ! »

Me revoilà dans mon petit Vigan, une pluie et un ciel bas faisant le jour maussade avec, dans mon cœur, un soleil radieux.

De retour à la salle à manger, mes larmes essuyées, je terminais les mangues confites accompagnées d’une bonne tasse de mon bon café, soi-disant le plus mauvais café du monde, comparable à celui du Musées des Offices de Florence, ce qu’affirmerait une des plus mauvaise langue que j’aie l’honneur de connaître, mais que je ne citerai pas.

Ndlr : Non, non ! Nanny n’a pas encore terminé son histoire sur sa Saint Valentin. Et, comme il faut ce qu’il faut, continuons…

dimanche 14 février 2016

La St Valentin selon Nanny -1


Chers, vous tous. Il est des jours heureux, et quelques autres exceptionnels, comme ce samedi 13 février. Tiens, que je vous raconte… 
Voilà que ce matin-là, je me levais après une nuit agitée, (et il est bon de savoir qu’à mon grand âge de 81 ans révolus, une nuit agitée est chose bien fatigante), puis m'en allais aux nouvelles de Télé-Matin, ce qui m’arrive rarement. Le projet des courses à Super U avec mon déambulateur, autant ne pas y penser, le tout tombant à l’eau littéralement car il pleuvait des cordes ! Une journée qui s’annonçait bien mal. 

Bon. Après le petit-déjeuner, je me mis à traduire une des lettres de mon regretté ami, Monsieur Marquès, relatant son engagement dans la guerre d’Espagne, histoire que Gilles aimerait éditer courant mars 2016, travail de traduction qui me réjouit et m'occupe grandement. J'en étais au Pronunciamiento et au bombardement naval de San Sebastián du 18 juillet 1936.

« Les forces de Mola attaquaient le long de la frontière française et se rapprochaient de Fuenterrabía . Dans cette situation, des bataillons et des brigades s’organisent.
Si ma mémoire ne me trahit pas, une de ces brigades était formée par les bataillons Isaac Puente, Larrañaga y Perezagua (je ne sais si je l’ai écrit correctement), et donc nous finîmes au bataillon du Commandant Larrañaga, avec tous les musiciens aux idées de gauche qui venaient de San Sébastian : cet, homme très éduqué et cultivé… oui, je pense et je le crois vraiment, nous donna un instrument de musique plutôt qu’un fusil ou une mitrailleuse (ametralladora), et dès le premier soir, nous fîmes partie de la Banda des M.A.O.C (Milicias Antifascistas Obrero y Campesinas).

Ensuite, après ma toilette, j'enlevais quelques grains de poussière en écoutant la môme PIAF. Pluie drue des heures durant ; ciel bas ; jour gris ; et nouvelles à la télé pas meilleures que le temps, le tout ne m’empêchant pas de me régaler à midi avec du poisson et de bons légumes. Contre mauvaise fortune je me décidais à m'offrir quelque chose de spécial en dessert : des mangues confites que Magali avait glissées dans mon bagage à mon retour d’Australie, le12 septembre dernier.

Toute à ma gourmandise, je fus surprise par un coup de téléphone incroyable !

Ndlr : Ana-Maria aime nous faire languir, lorsqu’elle se raconte. Tant pis pour nous si Nanny prend tout son temps !…

vendredi 5 février 2016

La France des sidérations - 2


Madame TAUBIRA, si la compétence des préfets, garants de l’Etat d’Urgence, ne réside, trop souvent que dans le fait d’avoir fait carrière dans la préfectorale, pourquoi avoir accepté de livrer la France à l'entière discrétion d'une police aux seules méthodes de profilage ethno-islamiques ?
- Les Préfets incompétents ? A d'autres ! S'ils l'étaient, alors de Manuel Valls, de sa carrière, de sa compétence, parlons-en. Admettons la légèreté, mais qui vous dit que Madame TAUBIRA n’a pas tiqué ? A preuve, sa démission.
- Non : de Hollande, elle accepta tout, comme de laisser agir les flics aussi longtemps sans le garde-fou de ses juges, tout en se faisant donner du Madame Le Garde des Sceaux, Ministre d’Etat, Ministre de la Justice qu'elle ne représentait plus le temps de la commission des violences faites aux libertés, et seul son amour du pouvoir expliquerait ses hésitations ! Quant à se rouler dans les honneurs, je vous laisse seul juge.

La France des petites gens commence à sortir de sa sidération et trouve le temps socialiste long, et d’une lourdeur que je ne vous raconte pas, à vous Madame encore sous le choc de l'anesthésie causée par votre amitié à François Hollande.
Quant à Valls, il n’est qu’à voir l’état de ses yeux hallucinés pour se rendre compte qu’il s'obnubile encore, tout seul, en poursuivant sa chimère vers les déchéances. Dormeur, certains l’appellent, mais pas si doux rêveur que cela. Agressif, même.

Mon dernier propos vous marquait fortement à la culotte, Madame notre ex-ministre de la Justice, en manquant de cette retenue que certains voudraient mettre sur le compte d’une enfance malheureuse, avec ce besoin de vous dénigrer pour me valoriser. Alors quand j’affirme que Christiane TAUBIRA…
- …était nulle place Vendôme ?
Mon Dieu, que me faites-vous dire ! Non, pas nulle, mais si son amitié pour le président Hollande l’honore, l’irrésolution ou l’attentisme qui en résulta l’aura mise dans la difficulté, et voila pourquoi je m'attriste pour elle !

- Menteur, va... mais on ne peut pas reprocher à Taubira sa valse hésitation lorsque l’on voit Valls, son premier ministre s’exciter, s’énerver, s’entêter bêtement…
Je vous accorde que si l’on reconnaît les cons à ce qu’ils osent tout, Christiane TAUBIRA  aura pris le temps, si ce n'est l'intelligence de refuser de se faire poisser dans ce bourbier socialiste de la déchéance de nationalité.

Petite curiosité : nos petits français binationaux qui s’éclatent en tuant des compatriotes, par leur décès éteignant l’action de la Justice, échapperont à cette indignité nationale qui ne pourra s’appliquer qu’au petits délinquants fichés S comme "terroristes", aux grandes gueules velléitaires abruties qui se seront faites prendre à trop d’assiduité sur le Net ou dans les mosquées, sans oublier les fous de Dieu ne justifiant que d’un placement en asile psychiatrique.

A bien y réfléchir, la nationalité ne pouvant concerner que les bien vivant, nous avons un problème, Taubira : que faire de nos terroristes français hésitant à se faire péter mais qui auront tué des étrangers dans les autres pays ? On en fait quoi, Christiane ? Des touristes sans visa que les autres pays condamneraient à la tourista perpétuelle ?

Nom d’un petit bonhomme, comment vouloir que nos français apprentis terroristes, ou malades mentaux ne soient plus considérés que comme algériens, marocains, belges, suisses ?
La belle affaire, mais comment expliquer à Valls que tous ces pays ne pourront que leur retirer cette deuxième nationalité encombrante et qu'ils deviendraient apatrides ? Autant battre tambour pour faire entendre un sourd.

Oui, mais non ! C'est Valls qui a raison car, comme c’est le premier qui fait le con qui met en joie la compagnie, la France aura débarrassé le sol national de ses terroristes vivants. Dommage que pour les terroristes français qui dorment en paix en cette bonne terre de France, comme le Mohammed MERRAH, l’Algérie ne désirera même pas que puisse reposer en terre algérienne le corps de ce chien de franco-algérien. 
Pardon, vous ne comprenez pas ? Mais, vivant en France, en tuant des français, le Merrah est donc mort en terroriste français, l’Algérie n’étant pas la poubelle de la France et n’avait pas à récupérer cette ordure mal élevée sur le sol français.

Chère Christiane, si vous avez encore le creux de l’oreille du Président de la république, aidez-nous à le sortir de sa sidération car, à s’entêter sur une idée farfelue, on le devient et on finit par amuser son monde.

PS : Dernière question, Christiane, que diriez-vous d’un ministre resté accroché à son portefeuille tandis que son premier ministre le remplacerait pour faire son boulot à l’Assemblée Nationale ? Une petite rédaction serait la bienvenue, très chère. Vous serez notée au plus juste. Parole.

mercredi 3 février 2016

La France des sidérations - 1


Madame Taubira, certains louent le ci-devant Garde des Sceaux que vous fûtes et qui démissionna du gouvernement pour un différent majeur : bravo, Madame, mais manque de panache, et bien trop tard. Il eut fallu réagir dès que le président de la République, le sieur Hollande entrevit de vous confier sa coquinerie du mariage pour tous. 
De même, et pour mémoire, je vous rappellerai l’état déplorable des prisons et de l’aide juridictionnelle, la déchéance de nationalité et l’état d’urgence, toutes mesures prises par votre gouvernement qui vous feront considérer comme l'un des apôtres majeurs de la division des français, ce qui vous sera rappelé à l'occasion. Venons-en à ce fleuron de votre politique, en sorte de marée noire socialiste : 

LE MARIAGE POUR TOUS et ses 136 heures de débats inutiles au Parlement. Inutiles puisqu’il convenait, pour résoudre un petit problème de droit constitutionnel, tout simplement de l’énoncer et, comme tout cancre morveux de 6ème, de le résoudre les doigts dans le nez.
Posons, Christiane, ce problème : imaginons deux ensembles A et B subpotents à eux-mêmes, un homme et une femme. La Constitution, considérant avant tout la Nature leur permit de contracter mariage puis, par le théorème de Cantor-Bernstein, les considéra tacitement comme équipotents, et donc égaux.

- Les enfants, les enfants… Considérons maintenant deux hommes (A et A’) et deux  femmes (B et B’) ensembles équipotents de par la Nature. Qui saura expliquer pourquoi ils peuvent contracter mariage entre même sexe ?
- Jean-Baptiste ?
- Heu… M’sieur ! Par la Nature ?... euh, vous croyez ?
- Vous ne savez pas dire ? Comme si nous ne le savions pas !...
- … et vous, Mouloud ?
- Et pourquoi moi, M’sieur, et pourquoi un homme il va avec un homme ?
- Eh, non, Mouloud… Pourquoi un homme il va avec un homme, ainsi que vous dites n’est pas  contenu dans la question, même si... réfléchissez, Mouloud.
- Ah, Henri, vous dormiez ! C’est bien, continuez ! On vous réveillera à la fin du cours.
- Oui, Manuel, à vous ? Equipotent, ça vous parle ?

- M’sieur, ils peuvent se marier, ça gêne pas, elle dit ma mère !
- … mais c’est dégueulasse.
- Oui, Manuel, mais non Mouloud… vous dites, mais vous répondez à côté…
- … oui, Jean-Marie, nous vous écoutons !
- M’sieur, pas besoin de tout ce tralala chez les députés qui ont mis le temps à découvrir que si A égale B, par la Constitution et peuvent se marier de par l’état de nature, tout A peut épouser tout A’, idem pour tout B qui peut s’unir à tout B’ puisqu’ils sont équipotents, même si la Nature elle est contrefaite…
- Bravo, Jean-Marie, la Nature contredite, pas contrefaite. Mais encore ?…
- Comme, M’sieur la Constitution ne peut s’opposer à l’état de nature sauf à l’améliorer pour le bien de tous, il était donc logique que les pédés équipotents A et A'… pardons, Msieur… oui, parce que le droit de A fait le droit de A', de B et B', et toutes les combinaisons sont possible voila pourquoi le mariage pour tous est licite même si pas recommandé entre tous.

LE MARIAGE POUR TOUS AVEC LES EGLISES DANS LA RUE à manifester. Merci, gente dame TAUBIRA. Du jamais vu ce peuple républicain se faisant émeutier contre lui-même et sa laïcité, prenant le parti de la religion pour interdire la bénédiction des homo. Certains religieux, que je ne nommerai pas pour ne pas m’en moquer estimaient, à mauvais droit, le mariage d’essence divine.
Il ne restait aux églises qu’à bénir les époux, quoique l’église catholique, pour ne pas la nommer, refuse mondialement la communion et le « mariage religieux » aux divorcés, en accaparant ce terme de mariage qui ne la concerne d’aucune façon : Madame Taubira, la justice aurait dû s’en saisir pour faire cesser ce scandale.

Quant aux témoins de Jéhovah, demeurés encore à l’abomination de la Bête, ils attendent par le feu de Dieu la punition des sodomites. Nos amis Mahométans, restés à l’âge de la pierre en ces choses mais pas qu'en certains pays rêvent toujours de lapider ces animaux humains religieux qui s’adonnent à ce genre de sexualité normale puisqu'assez bien répartie sur tous les continents de par l’état de dame Nature, autre argument que ni Mouloud, ni Manuel ou Jean-Marie, sans parler de Henri et Jean-Baptiste, pas même l'intit n'ont entrevu.

APPLIQUER LA CONSTITUTION SUR L’EGALITE de tous au droit du mariage ? Oh, que non, dame TAUBIRA ! Vous aviez voulu un débat abracadabrantesque, inutile, néfaste, contre-productif, dangereux en rouvrant toutes les peurs religieuses et le débat sur la laïcité entre les pour et les contre, alors que la Constitution, interdisant les inégalités, offrait, de facto, ce mariage pour tous dans son préambule.
Mais, comme vous n’aviez rien à proposer de concret aux français, ni croissance, ni baisse du chômage, ni plus de sécurité, par un tour de passe-passe que vous vouliez magistral, vous avez tenté de nous faire croire que les socialistes, par votre loi « généreuse », nous octroyaient cette grâce infinie de l’égalité des sexes.
Bien joué, Madame, mais à long terme, on vous le reprochera. Normal, comme à chaque sortie des sidérations.

Merci, Madame le Ministre de la Justice d’avoir fait découvrir, par ces débats inutiles du Mariage pour tous que l’égalité en droit primait le sexe. Certains religieux de France ne le sachant pas, il fallait bien les rappeler à leur laïcité.